SERMENT DE JOHN GALT

Je n'aime pas les boîtes noires. "Je jure, sur ma vie et l'amour que j'ai pour elle, de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi" JOHN GALT ("La GREVE" Ayn RAND)

Nous sommes sous monopole socialiste et la fin de l'histoire sera le choix entre désordre et délire. Mais c’est l’affaire de la gauche... et de la droite. Pour une fois, on ne pourra pas incriminer le libéralisme, qu'il soit néo, ultra ou autre chose, et le pouvoir hégémonique en France sera tenu pour seul responsable de la crise qui va venir et des mesures qu’elle appellera, bon gré mal gré.

Les libéraux doivent s'organiser pour constituer leur force en éclairant l’opinion publique. Celle-ci sera très vite désorientée par les initiatives du nouveau pouvoir, les promesses électorales envolées et les réalités économiques et sociales stupidement ignorées, révéleront au grand jour l'incompétence et l'impuissance de la politique à faire vivre durablement la Société.

La relance libérale sera alors devenue une nécessité lorsque les citoyens découvriront que l'horreur n'était pas ce qu'on leur présentait !!! Patrick AUBIN (juin 2012)

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17 déc. 2013

Dernier conseil municipal

Ce fut ce soir le dernier conseil municipal de cette mandature... sauf événement exceptionnel.

Sur le sujet de ma question diverse sur la Socamil, voici le lien concernant la preuve que Jean-Luc Moudenc avait bien dans son programme 2008 prévu le passage en communauté urbaine : http://moudenc.unblog.fr/2009/02/12/152/

J'avais à l'époque développé un argumentaire sur le départ de la Socamil pour éviter de subir les nuisances des rotations de camions (200/jour) tout en ne subissant pas ce départ par l'engagement d'un dialogue avec la direction de la Socamil pour le maintien au sein de la communauté urbaine de son activité et donc des emplois associés... Aujourd'hui, c'est La Socamil qui a les clefs de sa décision (et oui, M. Le maire sortant, c'est une société privée, mais les nuisances que vous avez continuez à développer sans vous poser les bonnes questions, sont publiques) et le politique se raccroche aux branches comme il peut. Une fois de plus, constatons le peu de connaissance que possède la classe politique sur la réalité économique : le seul but poursuivi est le mercantilisme lié à la fiscalité, comment continuer à spolier au maximum les moutontribuables. Ne nous étonnons pas de la situation de l'économie française avec de tels visionnaires à courte vue.

21 nov. 2013

Voir la vie à gauche : vivre sur les fruits du travail des autres !!!

Celui qui a gravit les marches de la politique politicienne à gauche et arrive au pouvoir est un homme qui a réussi. Voyez comment un tel homme voit la vie, et dites-vous bien que cette pensée est bien unique : tout homme de pouvoir à gauche, mais aussi à droite possède cette philosophie de pensée pour vivre sur les fruits du travail des autres grâce au vol fiscal (Oui je dis bien vol, car la fiscalité, à travers une taxe ou un impot, c'est une spoliation légale, une spoliation c'est du vol, d'ailleurs taxer et imposer sont des synonymes de voler ou contraindre).

Elle n'est pas belle la vie vue ainsi !!!




Le Droit, le vrai, pas celui que la jungle législative et fiscale nous construit jour après jour en défaisant ce qui a été fait la veille réclame UNE et UNE SEULE contribution commune... méditez sur ces deux articles des droits de l'homme et du citoyen (qui, a priori, est le fondement de la société française) en comparant avec la situation actuelle :

Article XIII

Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les Citoyens, en raison de leurs facultés.

Article XIV


Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.


Voir Constitution : déclaration des droits de l'homme et du citoyen



24 oct. 2013

Le socialisme, c'est l'achat en démocratie des suffrages des perdants ...

Un magnifique texte écrit le professeur Serge Schweitzer, authentique libéral : 


 "J’ai choisi il y a quarante ans de faire de l’analyse économique, la science qui étudie l’homme en train d’agir, et de l’histoire de la pensée économique vous allez voir pourquoi cette toute petite allusion personnelle de quelques secondes.

Ça fait quarante ans que j’essaie de réfléchir à l’ordre social et à la thématique libéralisme/coercition, libéralisme/socialisme. J’ai lu je crois à peu près tous les auteurs. Je vous le dis au bout de quarante ans, la vraie définition la vraie compréhension du socialisme c’est de s’intéresser à la psychologie de celui qui choisit d’adhérer.

Au bout du chemin voilà ce que je sais du socialisme, ce qui nous aide par ricochet pour le libéralisme, et de la seule définition correcte de cette maladie, de nature psychologique et mentale, chez certains hommes. Pas la peine d’aller chez les auteurs, je crois que ce n’est plus la peine d’écrire cinq cent pages sur le socialisme, l’impossibilité du calcul économique en économie de plan, laquelle est morte etc.

Le socialisme c’est la jalousie, sous un nom ou sous un autre il existera donc toujours, c’est la convoitise, c’est l’envie, c’est l’ulcère à l’estomac, c’est le désir de possession du bien de l’autre.

Le socialisme c’est la doctrine qui réussit à faire croire et à avaliser à ceux qui échouent que ce n’est pas de leur fait ni de leur faute mais celle de la société, du patron, du mandarin, du capitalisme, de l’innovateur, du riche, du talentueux, qui tous à des titres divers ont usurpé et lui ont volé indûment ce qui lui reviendrait de droit.

Le socialisme c’est le pansement, le médicament, la prothèse, la potion magique, le leurre, la tromperie, l’escroquerie qu’un économiste de pacotille, un économiste improvisé Karl Marx, avec ses soi-disant lois, a postulé pour dire aux uns que les autres ont réussi parce qu’ils les ont exploités.

Le socialiste est un aigri, un malheureux, mal dans sa peau, qui à travers le marché politique et la redistribution acquiert au détriment des autres ce que des clients libres des entrepreneurs libres d’acheter du travail n’ont pas voulu leur donner.

Le socialisme c’est l’achat en démocratie des suffrages des perdants en leur promettant qu’ils auront une part du gâteau sans participer à l’effort.

Le socialisme c’est flatter nos instincts les plus bas en les travestissant et en les sublimant sous le nom d’intérêt général et de justice sociale. Est un libéral, tout à l’inverse, celui qui tombe, vous et moi, qui échoue, vous et moi, mais qui se relève, tire les leçons, repart de l’avant, en se promettant tout simplement d’essayer de faire un tout petit peu mieux.

Le libéralisme c’est l’école du courage, du relèvement, de la reconnaissance de ses faiblesses mais du désir de toujours progresser, de faire un petit peu mieux, de ne pas persister dans l’erreur, de s’appuyer sur l’imitation des autres quand ils ont fait mieux que nous.

Le libéralisme est donc humilité, le socialisme est flagellation.

Le libéralisme est surpassement de soi, le socialisme acquiescement à ses échecs et transfert de responsabilités sur les autres.

Le libéralisme est une école de volonté sur soi, le socialisme est une acceptation de la médiocrité de notre condition à certains mondes.

Le libéralisme est tendu vers le plus, le socialisme est soumission et alignement vers le moins.

Le libéralisme dit aux individus surpassez-vous, et les reste viendra par surcroît, le socialisme dit aux individus faites 35 heures et le reste viendra des autres.

Le libéralisme est donc, au risque de vous surprendre, dernier point, une esthétique.

Le libéralisme est donc, au risque de vous surprendre, d’abord et enfin une esthétique du beau, du bien, du glorieux, de ce qui nous sublime et nous grandit.

Le libéralisme vise à épanouir les âmes et les esprits dans l’exercice de notre liberté et de notre responsabilité.

Le socialisme vise à l’inverse à égaliser dans la rancœur, l’envie, la jalousie, la paresse, la médiocrité, la laideur. (...)"

Professeur Serge Schweitzer

26 sept. 2013

Mes chroniques économiques

Les liens vers mes chroniques économiques au sein du Journal Toulousain pour le troisième trimestre 2013 :

Cadeau fiscal : non vol légalisé ?

Le coup culturel de trop

La Poste, un service de + en + timbré !

Suite à la réception d'un courrier, j'ai lancé une série de chronique sur toutes les inepties que l'on peut entendre sur le libéralisme de la part des élus qui ne veulent pas perdre leurs fauteuils en jouant sur la naïveté du peuple : ils s'imaginent les gardiens d'un temple qui s'effondre en réalité à cause de leurs propres actions !!!

Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (1/12)

Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (2/12)

Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (3/12)

Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (4/12)

Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (5/12)

Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (6/12)

Libéralisme ? Economie ? Cliché quand tu nous tiens... (7/12)







22 juil. 2013

BHNS - Toujours et encore ... Phase de préconcertation, vous avez dit ???

La phase de pré-concertation, comme elle est appelée, sur le BHNS, est terminée. Elle a donné lieu à un document qui devrait être consultable prochainement sur le site de la Mairie. Je ne vous parle pas des engagements pris en conclusion de ce document, car cela va donner encore pas mal d'occupations à des bureaucrates (ne parlons pas ici de "travail" car tout cela sera financé par la spoliation des fruits du travail du secteur privé pour ceux qui ont encore le bonheur de payer des impôts et taxes). Ce document étant arrivé un peu tardivement, lors du conseil municipal du 09 juillet, le maire à proposé aux conseillers municipaux d'envoyer leurs commentaires. Aussi ci-dessous, vous trouverez les commentaires que j'ai fait parvenir :

BHNS : Phase de pré-concertation "Tournefeuille"
Les oppositions sont toujours minimisées par celui qui veut faire passer un projet. Si les gens ne déploient pas de banderoles, sont-ils pour autant d'accord ? Ils peuvent d'ailleurs ne pas avoir d'avis, tout simplement parce que ce projet ne les concerne pas, même s'ils sont imposés ou taxés pour le financer. Aujourd'hui le système politique ne leur offre pas d'autre alternative que subir sans vrai débat.
100 à 150 personnes participantes sur 6 réunions, c'est tout au plus entre 600 et 900 personnes. Sachant que des personnes sont venues plusieurs fois et pas exclusivement de Tournefeuille, cela ne permet pas de savoir dans quelle catégorie peut se ranger en toute transparence chaque participant comptabilisé. C'est très largement insuffisant pour dire que le projet est bien accueilli au regard du nombre d'habitants. Évitons d'appliquer la méthode Coué, car en général, c'est au fur et à mesure que les gens prennent conscience des aspects négatifs d'un projet, et que les oppositions s'amplifient.
En toute objectivité sur l'intérêt du projet, je serai d'avis qu'une association du genre "pour le BHNS Ouest" soit créée. Le pouvoir politique actuel balaiera-t-il une telle initiative de peur de voir l'inanité du BHNS et la vacuité de ses instigateurs démontrées ? Aurait-il peur de voir des projets concurrents se monter ou une association "contre le BHNS" avoir plus de succès, dévoilant les vrais priorités ? N'est-ce pas pourtant la démocratie que de laisser les citoyens décider ce qui est bon pour eux et au pouvoir politique de leur garantir leurs droits de s'organiser ? En tout état de cause, ce n'est pas à une oligarchie élue appuyée par des bureaucrates de décider de l'avenir des quartiers, mais aux habitants, qui outre d'être les financiers bien malgré eux du projet, sont aujourd'hui les payeurs de ce joli monde.
Ce projet n'est pas un investissement d'intérêt général : il n'est qu'un transport en commun destiné à une clientèle restreinte en compétition avec d'autres moyens de transport. La fréquentation des bus est très insuffisante pour envisager une telle issue fatale sans volonté générale. La fréquentation est d'ailleurs le point le plus critique qui aurait déjà dû faire abandonner toute avancée supplémentaire. Dans aucune ville de France, un tel projet n'aurait été lancé sur les bases existantes. Même pas 3000 voyageurs/jour pour le 65 et on veut nous faire croire que l'on va nous emmener en 2020 avec 39 000 voyageurs/jour (il est dit d'ailleurs 18 000 entre Plaisance et Tournefeuille !!!). Quand on sait que le tramway sur Blagnac arrive péniblement à 20 000 voyageurs/jour avec une autre configuration de population, il y a de quoi être inquiet sur ces prévisions sorties d'un chapeau. De quelle manière les Tournefeuillais seront-ils mangés une fois que le fiasco de ce projet se concrétisera ? Car même en densifiant la commune à la manière d'un Ceausescu, pourquoi prendre un tel transport en commun alors qu'aucune zone d'activité importante n'est desservie ? Pour prendre le train ? Combien de Tournefeuillais vont à Matabiau chaque jour ? Aller aux spectacles à Toulouse ou venir à ceux de Tournefeuille ? C'est évidemment une plaisanterie qui n'est pas d'un goût douteux...
Car le coût de ce projet n'est pas qu'une bagatelle et est une nouvelle gabegie de dépense publique en fonctionnement supplémentaire. 180 millions, c'est un engagement financier déjà bien trop élevé quand aux risques d'échec qu'il représente. On nous le présente comme un moyen d'avenir, il appartient au passé en manquant particulièrement de souplesse en terme de desserte et en venant entraver un peu plus la circulation déjà difficile. C'est la mobilité individuelle qu'il faut encourager, pas la rigidité d'un moyen collectif. La configuration de la ville de Tournefeuille n'a pas du tout été préparée et aménagée pour accueillir un tel moyen de transport. Les questions et interrogations lors des réunions démontrent que le terrain du trajet n'est qu'un flot d'incertitudes et d'atteintes futures à la propriété.
Evidemment, une fois achevé, pour éviter que cet échec ne se transforme en fiasco politique et économique, des mesures de densification à marche forcée avec menace d'expropriation devront être prises autour de l'axe BHNS comme c'est le cas aujourd'hui autour de la ligne du tramway à Blagnac.
Patrick AUBIN / Conseiller municipal Tournefeuille

Avis fourni suite à Conseil municipal de Tournefeuille du 09 juillet 2013

10 juin 2013

Réunion publique du 10 juin

L'enfumage classique fonctionne assez bien dans ce type de réunion. Les Tournefeuillais ont eu droit à une nouvelle séance avec un maire qui est, il faut bien le dire, assez adroit pour ce genre d'exercices où il est passé maître dans l'art du mépris ou du dénigrement des questions dérangeantes.

Pour qui a suivi cette réunion, il y a de quoi s'interroger pour savoir qui exerce le pouvoir aujourd'hui : la bureaucratie à travers le préfet, ou le peuple à travers ses représentants politiques ? Ces derniers sont-ils au service des citoyens ou de la nomenklatura ?

Faire peur en indiquant que si la municipalité ne fait pas les logements sociaux, ce sera le préfet qui lui ne fera pas dans la dentelle, entre expropriations et immeuble avec 100% de logements sociaux, c'est bien se moquer du monde. Et pour démontrer que l'épée de Damoclès pèse au dessus des Tournefeuillais, lui le gentil maire n'a pas hésité à présenter un méchant courrier de la méchante administration. Densification il y a, densification il doit y avoir. La cause doit être entendue.

Notre démocratie sombrerait-elle dans l'arbitraire ? sert-il à quelle chose d'aller voter ? C'est bien ce que veut nous faire comprendre le gentil maire qui se pose en protecteur de ses propres basses manœuvres : c'est soit lui, soit le néant de l'administration, celle qui se contente de suivre bêtement les règlements, comme à ses plus belles heures durant la guerre de 39-45. La soviétisation de la société française est bel et bien réelle.

Lui l'énarque qui est actuellement dans la politique, donne ainsi beaucoup d'importance à la haute fonction publique qu'il occuperait s'il venait à ne plus être élu... tout en restant payé par le contribuable qu'il peut mépriser d'une manière ou d'une autre... Elle est pas belle la vie ?

D'ailleurs, j'ai comme un pressentiment suite à cette réunion : ce gentil maire va être prêt à sacrifier sa maison pour montrer l'exemple. Pour s'installer où ? Là où il n'y a pas de transport en commun de prévu et où il reste encore quelques terrains sympathiques. Tournefeuillais, dormez tranquilles, le maire veille sur vos terrains... Si vous ne savez pas ce qui est bien pour vous, lui sait ce qui est bien pour vous !!!

2 mai 2013

Refus de cette fatalité

Mon droit d'expression d'élu dans Tournefeuille Information :



Moins d'un an et le conseil municipal sera renouvelé. La commune est depuis toujours aux mains d’étatistes. La France, les autres collectivités locales aussi. La droite, tout autant étatiste, ne fera pas mieux. Elle l'a déjà prouvé. Si vous êtes convaincu de lurgence de tourner la page de cette démocrassie de connivence, contactez-moi pour partager un avenir meilleur que misère et dettes publiques... Ne soyons plus esclaves du système. Mais libres et responsables. Ne laissons plus la bureaucratie diriger nos vies. Ne laissons plus ce système se servir au lieu de servir les citoyens. Le pouvoir revient au peuple, pas aux oligarchies élues. Retrouvons le dynamisme économique et l'emploi grâce à la liberté, voilà la seule option sociale réaliste... Le droit de l'être avant le droit d'avoir !


Voici la suite :


Etes-vous prêts à lire et à entendre des choses différentes de la soupe que nous verse la droite et la gauche, ainsi que leurs extrêmes, en France ?

Non pas des choses nouvelles, car il n'y a rien à inventer sur le plan politique, mais des choses que nos gouvernants ont enterrées progressivement pour leur propre intérêt de nuisances.

Des choses qui nous viennent du siècle des Lumières mais qui n’arrangent pas l’abus de pouvoir, la confiscation du pouvoir : nos ancêtres ont fait tombé le pouvoir absolu, mais ils ont oublié en cours de route le chemin tracé.

Les gouvernants d'aujourd'hui nous promettent beaucoup de choses mais c’est toujours avec notre argent tout en se servant au passage. Ils nous ont illusionnés et ce que nous récoltons aujourd'hui, c'est une montagne de dettes avec une crise de laquelle nous n'en sortirons pas, car ils n'ont pas de solution. Ils ont transformé les droits de l'être en droit d'avoir … mais toujours à notre détriment !!!
  





Le droit de vote s'est transformé, avec les promesses électorales des hommes politiques qui utilisent l'argent des autres pour les satisfaire, en droit de voler légalement son voisin par des impôts et taxes toujours en croissance. Mais ce n'est pas en déshabillant Pierre pour habiller Paul, que les deux sont plus heureux : le riche fuit, celui qui a la possibilité de le devenir part, et la misère s'installe durablement chez ceux qui restent en dehors de l'oligarchie qui continue à se servir allègrement !!!




Toutes ces dépenses publiques donnent l'illusion de progrès. Mais le vrai progrès ne viennent pas de la politique : pouvez-vous citer les innovations françaises issues de l'état sur ces 25 dernières années qui a fait que la France est économiquement forte ? L'aéronautique qui nous touche, nous les toulousains ? Non, elle est bien plus ancienne, l'aviation mondiale est né à Toulouse, il y a déjà fort bien longtemps. Plus l'état intervient dans l'économie, et pire la situation est. Et si vous pensez que le mille-feuilles administratif lié à la décentralisation est une merveille de fonctionnement simple et peu coûteux, servant le citoyen et les entreprises dans des délais courts, il est vraisemblable que vous n'avez pas un emploi privé qui vous fait vivre. Les élus de la commune de Tournefeuille apprécient particulièrement ce système qui leur attribue généreusement des subventions. Vous l'aurez surement compris, ils apprécient ce système plutôt que de devoir lever des impôts au sein de la commune pour masquer le niveau de leurs dépenses : ils préfèrent l'opacité à la transparence. En fait, pour vous donner une idée, la commune dépense plus de trois fois ce que les tournefeuillais payent en impôts locaux : par exemple si le cumul de vos propres taxes locales (habitation et foncières) représente 3 000 euros au niveau de votre foyer, la commune en dépense plus de 9 000 !!! Et pour vous, c'est une dépense obligatoire ! A vous de vous serrer la ceinture, eux ils n'ont aucune contrainte si ce n'est d'entretenir l'illusion que vous êtes libres !



Les élus de la commune de Tournefeuille, grâce aux statistiques toutes aussi biaisées les unes que les autres, minimisent la dette. Mais tout est relatif, et c'est une dette publique de trop : elle représente environ une fois et demi le montant des impôts locaux annuels. De plus des dettes communales supplémentaires sont réparties dans des officines comme le CCAS (Centre communal d'action sociale) ou le SDEHG (Syndicat départemental de l'électricité de Haute Garonne). La commune garantit également des prêts à des offices privés d'HLM. N'oublions pas non plus l'intercommunalité dans laquelle siège des élus de la commune qui sert de réceptacle d'achats immobiliers sur la commune. Toutes ces dettes reposent exclusivement sur votre argent et celui de nos entreprises. Et nous, nous nous fonctionnons comment pour faire développer nos entreprises ? Il faut comprendre une bonne fois pour toute que les impôts et taxes ne créent pas de richesses, car si c'était le cas, les politiques n'auraient pas besoin de nous ponctionner. Et toute dette publique est une escroquerie supplémentaire sur les citoyens car même ce qu'ils appellent de l'investissement est du fonctionnement. Alors ne nous étonnons pas que l'économie ne trouve plus les moyens de se financer et que l'emploi chute.



Et les élus actuels de la région toulousaines veulent continuer dans leurs dépenses avec l'arrivée d'un BHNS (Bus à Haut Niveau de Service) pour remplacer la ligne 65... alors que les transports en commun sur la commune ne séduisent pas la population. Sur cette ligne 65, le maire a tellement honte du chiffre de la fréquentation, qu'il annonce celle-ci sur la base d'une année : 1 millions de voyageurs/an !!! Ce n'est même pas 3 000 voyageurs/jour. Pour faire cette ligne, l'Avenue Vincent Auriol devra être cassé alors qu'elle a été refaite il y a à peine 10 ans. Comme vision à court, moyen et long terme, il est possible de faire beaucoup mieux !





Les élus de Tournefeuille, et en particulier le premier édile, adorent parler de solidarité, et pour cause car il est également un cumulard de fonctions et d'indemnités : merci brave peuple de vos offrandes !!!



Jouer sur les sentiments est une technique vieille comme le monde pour s'attirer les naïfs. Et à Tournefeuille, nous avons une coalition politique de la pomme pas mure (verte) jusqu'à la pomme bien mure (rouge) en passant par la rose. La pomme orange et la pomme bleue ont aussi cédé aux chants des sirènes de ce système social que tout le monde nous envient... mais que personne ne veut surtout adopter !!! Mais nos élus tirent aussi sur la corde des subventions issues de ce système - par exemple de la CAF (Caisse d'allocations familiales)- alors qu'il est en instance d'exploser et de déposer le bilan. Bon tant qu'il y a encore quelques français pour payer, profitons-en un maximum !!! A l'instar de son modèle soviétique, le dinosaure aura tenu environ 75 ans. Et maintenant qu'ils ont pillé les entreprises et les citoyens français, les cigales sont en train de crier famine et lorgnent déjà sur l'argent des fourmis allemandes. Lamentable !!!




Puisque nous évoquons une fable de La Fontaine, restons dans le domaine de la culture, un domaine dans lequel excelle cette formidable municipalité pour avoir réalisé le tour de force de bâtir deux salles de spectacles en moins de 5 ans. Pardon, plus qu'une seule puisque le Phare doit être appelé, comme me l'a rappelé un jour en conseil municipal, le toujours maire de cette commune, une "salle polyvalente". En effet, les artistes qui sont passés par ce "gymnase amélioré" ont trouvé un léger défaut dans la sonorité et ne sont pas près d'y revenir... et celà est maintenant connu dans la profession. Encore des dépenses et des emprunts inutilement engagés...




Vous aurez surement noté que le milieu associatif à Tournefeuille est d'une richesse extraordinaire, à défaut d'avoir des entreprises qui créent de la richesse. Vous pouvez créer la moindre association, une oreille attentive de la municipalité se dressera et on vous fera les yeux doux. J'ai de quoi écrire un livre d'anecdotes dans ce domaine. Le clientélisme et les conflits d'intérêts des élus ou membres de leur famille qui en résultent est tout aussi extraordinairement riches. Il est aussi très intéressant de faire des rapprochements entre les entreprises qui répondent à des appels d'offres sur la commune et celles qui financent des associations communales. Une corruption insidieuse existe mais comme cela fonctionne au grand jour, plus personne n'y prête attention.



Tout ce système de copinage local qui dure depuis toujours sur la commune de Tournefeuille entraîne des réflexes qui appauvrissent l'économie et donc, nous, les citoyens. Nous ne devrions pas voter pour nous faire piller, mais pour nous garantir nos droits naturels et imprescriptibles que sont la liberté, la propriété, la sécurité et la résistance à l'oppression. Et pourtant, nous continuons à croire en l'homme politique providentiel qui va nous raser gratuitement. Et pour nous raser, nous sommes gâtés.



Ceux qui pâtissent le plus de cette situation au sein en France comme dans la commune sont les plus faibles qui perdent leurs emplois, mais également les retraités qui ne peuvent plus payer leurs impôts locaux, voire contraints de déménager.



D'ailleurs, avec la modification du plan d'urbanisme à Tournefeuille, de sérieuses menaces pèsent sur les propriétés des uns et des autres : l'actuelle municipalité a décidé d'une densification de la manière de ce que les dirigeants de l'ex-URSS avaient pu faire en leurs temps ou ce que les pays collectivistes ont ou décident en matière d'aménagement. malgré que la plupart des villes de France sont aux mains des socialistes ou d'étatistes, malgré tout l'interventionnisme politique dans l'immobilier, malgré tous les plans et règlements urbains, l'économie ne fonctionne pas mieux pour autant, bien au contraire.



Or le pouvoir est au peuple, les élus ne doivent être que les représentants du peuple. Et il existe une anomalie que le peuple n'a pas encore su traiter (dans très peu de pays au monde) : c'est que les élus (élus par une partie du peuple - le plus souvent sont minoritaires) se sont érigés en dirigeants et veulent construire une société que les autres parties du peuple refusent (qui se retrouvent souvent majoritaires). Le peuple est donc divers et si la démocratie consiste à utiliser la violence de l'Etat pour qu'une majorité minoritaire imposer ses projets aux minorités majoritaires, alors c'est que nous sommes en dictature et qu'il faut passer à autre chose de moins conflictuel. En tout état de cause, il ne faut plus faire confiance à des élus pour faire évoluer la société : la société sait évoluer seule sans avoir besoin de lois et règlements pléthoriques aussi inefficaces que stupides qui ne servent qu'à occuper une bureaucratie. La loi doit être simple et comprise de tous, et surtout universelle : tout le reste doit être de l'ordre du domaine des contrats entre privés.



Le plus urgent est en effet de retrouver le chemin de l'activité privée et de supprimer la possibilité aux politiques de gesticuler et de brasser du vent. La politique c'est le droit, et l'Etat, ce sont les fonctions régaliennes.
Voir la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 (base constitutionnelle) :
http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/dudh/1789.asp).



Aussi, il est nécessaire de recentrer les élus locaux vers les fonctions régaliennes, celles de la garantie des droits naturels et imprescriptibles : n'oublions pas - et je n'invente rien - que le maire est censé être depuis toujours le premier magistrat sur la commune. Et si les magistrats des tribunaux sont laxistes avec la délinquance - là aussi, je n'invente rien, le constat est sévère et la police n'en peux plus de leurs actions inutiles -, les élus doivent être en mesure de peser dans les décisions sur des actes qui concernent leur commune : l'indépendance des pouvoirs ne doit pas empêcher les critiques par les citoyens et la remise en cause de leur fonctionnement. C'est donc bien sur le  terrain des fonctions régaliennes, et notamment pour garantir leur sécurité, que les citoyens sont en droit d'attendre des actes forts de leurs élus. Il y a une urgence à instituer sur les quartiers une véritable politique de sécurité, avec la police nationale et la police municipale, afin de renverser la peur : ce sont les délinquants qui doivent vivre l'insécurité. Et c'est bien aux citoyens de décider dans la cité ce que leurs quartiers doivent être pour ne plus craindre l'agression.



Alors fini le social avec le méchant libéral que je suis et qui ne s'intéresse qu'à son pognon et à la sécurité comme le prétendent ceux qui dénigrent le libéralisme soit avec le retour à l’âge de pierre soit avec la loi de la jungle et en l’affublant de préfixes tel que « ultra » ou « néo » ?



Tout d'abord, tordons le coup au dénigrement du libéralisme : le libéralisme est une morale politique fondée sur le fait de ne pas faire à autrui ce que l’on ne veut pas qu’autrui nous fasse. Cela repose sur la défense du faible à travers le droit. Pourquoi le social devrait toucher collectivement tout le monde et passe par une organisation nommée « état » ? Quelle justification morale ou scientifique à cela ? Que ceux qui sont pauvres ne puissent pas se payer les soins ? Mais de qui se moque-t-on, doit-on avoir des pauvres pour s’occuper de sa santé ? Et qui mieux que nous-même peut savoir ce qui nous convient ?

Si un citoyen est responsable pour voter, il est tout autant responsable de sa propre vie : il est en mesure de choisir une assurance santé, de faire des choix pour sa retraite ou son chômage. Arrêtons de l'infantiliser car à ce moment-là, il n'est plus en mesure de voter. Quand on voit aujourd'hui la gabegie et la quasi-faillite des mécanismes collectivistes qui ont été mis en place depuis 1946, on peut se dire que ce gâchis aurait pu être évité.




Les associations ou fondations, si elles ne sont plus subventionnées, peuvent très bien recevoir des dons des personnes physiques et morales. Un citoyen ou un dirigeant d'entreprise peut très bien choisir librement et volontairement les associations à qui il souhaite faire des dons. C'est leur argent, et il n'y a aucun risque de conflit d'intérêt, car votre argent vous pouvez le dépenser comme bon vous semble. C'est sans intermédiaire, directement et net dans les caisses de l'association. Cela évite de passer par l'arbitraire de la distribution clientéliste politique et la ponction administrative tout à fait inutile. Et si certaines associations ne sont pas transparentes, les citoyens auront tôt fait d'en trouver de plus sérieuses.



Alors oui l'illusion socialiste, tout le monde est en train de la découvrir au fur et à mesure. Le socialisme ne sait que piller l'argent des autres pour pouvoir fonctionner. Et quand l'argent vient à manquer, c'est la fuite en avant le crash. La droite en France n'est pas mieux : elle est étatiste et conservatrice du socialisme. Elle n'a jamais déconstruit ce que les socialistes ont mis en place comme horreurs économiques.



Toute collectivité locale, année après année, en votant des budgets qui comportent des subventions directes et indirectes en provenance de l'état, porte une lourde responsabilité dans la catastrophe des finances publiques de la France. Les élus de la commune de Tournefeuille, dont le budget est à plus de la moitié financé par des subventions, font partie des fossoyeurs de l'économie. J'ai été le seul à dénoncer durant mon mandat de tels agissements qui nous conduisent à la ruine.



Car avec l'état-providence, ce que nous avons récolté c'est l'oppression fiscale, l'insécurité économique et le vol légalisé de nos revenus : chaque salarié après cotisations sociales (salariales et patronales), impôts et taxes divers et variés, ne dispose plus qu'environ du 1/3 de ce qu'une entreprise mobilise pour lui. Oui quand vous avez échangé 1 000 euros pour vous, l'entreprise vous aura payé 3 000 euros, les 2 000 euros sont partis pour financer des choses que vous ne contrôlez pas, mais que les politiques ont définies comme étant pour votre bonheur !!! Ce sont ces mêmes socialistes qui avaient décidé que Tournefeuille serait une ville pavillonnaire dans les années 80-90. Vous me direz surement qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, mais il ne faut pas non plus prendre les citoyens pour des gogos. Pour tous ceux qui ont des doutes sur la manière d'agir des élus, allez faire un tour du côté de Blagnac avec le tramway, tramway qui est d’ailleurs très loin d’atteindre les chiffres de fréquentation que les étatistes de droite promettaient.



Si évidemment le législatif ne dépend pas de la commune et de l'intercommunalité, comme le code du travail qui mérite plus qu'un toilettage (notez par exemple que le code du travail suisse se lit dans le train Paris-Lausanne et qu'il n'existe pas de SMIC : est-ce que les suisses sont des esclaves ou des esclavagistes, des antidémocrates ou un pays de pauvres ?), d’une manière générale, les élus se mêlent malgré tout de choses qui ne les regardent pas en détournant de l’argent qui ne leur appartient pas. Outre une sévère taille dans les subventions, un arrêt total des emprunts, de l'intervention dans le domaine de la culture et des sports, de suppression des frais de communication inutiles, il est indispensable de donner aux citoyens la responsabilité de gestion et de l'organisation de leurs quartiers. C'est en réduisant le poids et la lourdeur de l'intervention municipale que les impôts et taxes se réduiront sur les citoyens et les entreprises, leur permettant de retrouver du pouvoir d'achat. C'est en retrouvant le chemin des marchés privés que les citoyens redonneront du dynamisme à l'économie avec un retour à la création d'emplois. L'étatisme c'est le chemin de la misère.



Aussi ce n'est pas en reconduisant la majorité communale socialo-communiste actuelle qui se refuse à baisser les impôts parmi les plus élevés de France, que l'économie aura une chance de repartir. Tout comme les ministres du gouvernement, ces élus sont essentiellement issus du secteur public ou d'entreprises qui dépendent très largement du financement public. Aucun ne peut justifier d'une activité privée réussie en développement d'entreprise... pas même le maire.



En les reconduisant, et avec un état socialiste qui va réduire les subventions de l'état vers les collectivités locales pour tenir les objectifs de réductions de dépenses publiques pour reculer l’échéance de la catastrophe, le risque est fort que les élus socialistes locaux, face à leurs propres dépenses communales, se trouvent dans l'obligation d'augmenter les impôts locaux pour maintenir le niveau de leurs dépenses excessives. Il faut ainsi noter que le coût du personnel communal est supérieur à ce que rapportent tous les impôts locaux !!! Alors si vous refusez cette fatalité du crash final, il est temps de prendre des mesures drastiques dans l'organisation de l'état français et de son mille-feuille, à commencer par la commune : continuer à faire l'autruche, n'empêchera pas le tsunami des finances publiques françaises d’arriver et de tout balayer. Mais ce jour-là, il faudra quand même des libéraux pour repartir du bon pied et dans la bonne direction.





Alors pour nos collectivités locales, c'est la même chose, les citoyens les ont laissé faire et les élus interviennent dans les domaines en dehors du champ des fonctions régaliennes. Plus elles ont pris d’importance, et plus le phénomène de tsunami des finances publiques a été amplifié. Mais vous avez la possibilité de faire changer le cours des choses en reprenant connaissance de ce que les philosophes des Lumières ont apporté avec le libéralisme... ce libéralisme qui ne prend aucune ride à travers le temps qui passe, alors que toutes les expériences de transformer l'homme dans l'égalitarisme sont tombées et tombent au fur et à mesure... voici quelques extraits de philosophes libéraux français :




































Et d'étrangers qui ont marqué leur époque :








 





















Oui, NOUS avons la possibilité de ne pas nous laisser enfermer dans la prison socialiste ou étatiste : les fruits de notre travail nous appartiennent et c'est à chacun de nous d'en avoir la responsabilité de distribution, pas à des oligarchies élues dont le seul but est l'imposition ou la taxation. L'organisation du contrat social de "liberté, égalité et fraternité" est à construire autrement que par la spoliation toujours plus grande de l'arbitraire politique, qu'il soit national ou local. Le pouvoir politique doit être limité aux fonctions régaliennes, car en se mêlant de tout, il assume très mal et engendre les pires malheurs et corruptions. Contactez-moi si vous souhaitez que notre commune trouve un développement parce que ces citoyens le décideront et auront limité le pouvoir politique à ce qu'il aurait dû toujours être.

LE POUVOIR D’ÊTRE ENSEMBLE,
PAS CELUI D'AVOIR
AU DÉTRIMENT DES AUTRES